Je me souviens... [mademoiselle chelsea]

N'y avait-il pas une seule chose qui lui manquait cruellement, une seule, unique? Cette chose dont aucun être humain ne peut consciemment se refuser, ne peut consciemment ne pas rêver posséder. Le genre de chose que le genre humain démontre qu'il peut se battre par conviction, par détermination, et démontrer sa nature possessive et égoïste. Le genre de chose pour laquelle on pourrait mentir, voler, tuer. Si vous croyiez que cette chose s'appelle l'amour pour Liam Alexandro Emerson; c'était avoir pertinemment et profondément tord. S'il y avait bien quelque chose qui ne faisait pas partie des moeurs du jeune homme, c'était bien l'amour. Quand on dit amour, dit quelqu'un, évidemment, et dans ses plans, il n'en avait jamais été question, pas depuis le collège. D'ailleurs, on ne peut pas qualifier décemment le béguin ou l'irrépressible attirance envers quelqu'un comme étant de l'amour. Ce serait un peu idiot, si on pense que ce «béguin» justement, pour ne pas avoir à la nommer, n'échangeait justement qu'avec véhémence et violence chacun de ses propos, chose que Liam rendait très bien. C'était justement le genre de choses qui lui plaisaient hors de toute conscience, faire réagir, provoquer. À croire que le jeune homme était né pour ça.

Liam ferma ses yeux d'un bleu profond, savamment enfoui au creux d'un canapé particulièrement douillet, justement le genre de luxe que l'armée vous fait oublier. La douceur d'un matelas sans bosse, sans ressort qui vous tord le dos, par exemple. Les chaises en plastique ou en bois dur comme acier, et n'offrant qu'un support sommaire et désagréable à la colonne vertébrale, si vous n'aviez pas bien compris. Pourtant, l'héritier Emerson avait l'impression d'avoir trouvé sa voix. D'avoir trouvé ce qu'il devait faire dans la vie. C'était un peu audacieux de sa part, venant d'un garçon qui n'a que vingt-trois ans, mais on ne peut faire mentir nos impressions. Il lui était impossible de ne pas le voir là où il était, Marine, avec certains officiers sous ses ordres. Un jour, il partirait en mission et se séparerait des siens, à nouveau. La seule chose qui le dérangeait était de laisser sa mère et Anya derrière lui, seules. Combien de fois avait-il reçu des réprimandes des deux femmes qui, dans ces moments, se ressemblaient d'une manière effrayante, qu'elles pouvaient très bien se débrouiller sans lui, qu'il devait aller et suivre son Destin et que tout irait bien. Si le jeune homme désire se battre pour son pays, c'est d'abord se battre pour les siens, et sa motivation s'appelait justement Adriana Martinez et Anya Emerson.

Il avait passé le début de la matinée -bien entendu, debout à l'aube- à s'entraîner. Liam avait presque oublier qu'il était dans un chalet, avec les autres finissants de sa promotion jusqu'à ce qu'il passe la porte du gymnase, ultra moderne, avec le dernier cri de machines d'entraînement. Liam ne pensa même pas aller faire quelques pentes, au lieu de faire du tapis roulant. Une habitude, mauvais ou pas, ne se perd pas. Pas après trois ans, au moins. Si le jeune homme était simplement svelte au collège, il était désormais athlétique et son corps respirait la discipline et la forme optimale. Pas de muscles encombrants, ce n'était pas son genre, simplement une condition physique optimale, rien de moins. C'était un «must» dans l'armée, sans quoi on se faisait écrabouiller. Cette expérience l'avait fait grandir, sans le moindre de doute. Plus posé, plus réfléchi, plus déterminé aussi, Liam semblait être plus insolent quand même, car on ne doit pas laisser sa place si on veut gagner en grade. Si on veut devenir quelqu'un, il faut parfois écrabouiller son voisin. N'étant pas dans ses moeurs, il avait du prendre son mal en patience, faire taire ce haut le coeur qui le prenait quand il devait se mettre de l'avant en faisant de l'ombre à son Voisin. Malheureusement, pour une place au soleil, on serait presque prêt à vendre son âme au Diable; lui ne faisait, presque, pas exception. Pour l'instant, il ressentait encore cette compassion qui le poussait à toujours vouloir aider son prochain, à son détriment...

Ouvrir les yeux était difficile, le confort semblait avoir raison et la fatigue de ses membres s'amplifiait. Ce n'était pas l'entraînement qui était rude -il s'y était habitué- mais le fait de n'avoir rien avoir à faire de précis. Qui eut cru que Liam Alexandro Emerson finirait par s'ennuyer de se faire balancer des ordres?

Cela ne faisais à peine que quelques jours que la promotion étaient arrivés dans ce Chalet et déjà Chelsea avait besoin de se retrouver seule, non qu'elle ne supportait pas les autres mais elle avait besoin d'un moment de solitude bien à elle, Elle c'était levée tôt et c'était habillée chaudement. Elle c'était fait un Moka à la cuisine qui à cette heure était déserte. Elle avait enfiler ses vêtements de neige et avait pris sa planche direction les pentes de Ski, Elle avait passer une journée de rêve entre les désentes, le diner près du foyer et le massage relaxant, Elle avait été comblée! Elle était rentrée en fin de journée vers les seize heures, la plupart des autres étaient soit sortis faire des activités ou se reposait dans leur chambre vu la fête de la veille. La jeune femme rentra alors en retirant ses vêtement et les placa de manière à ce qu'il séche, Elle monta à l'étage pour se changer et enfila un survêtement très simple qu'elle avait lors de ses cours de danse. Elle alla immédiatement à la cuisine et se prépara un chocolat chaud avec marshmallow inclus bien entendu! Elle avait pris soin de tout ranger, Non qu'elle était une maniaque du ménage mais elle vivait avec une trentaine de personnes alors elle faisait tout de même attention. Elle pris sa Tasse de chocolat qui brûlait sous ses mains, mais qui réchauffait doucement le corps de la jeune femme. Elle se dirigea alors vers la cusine, Elle avait son Ipod sur ses oreilles écoutant du classique qui la détendait et lui inspirait de nouvelles chorégraphie de ballet. Elle entra dans le living room espérant pouvoir s'y réchauffer près du feu.

La jeune femme entra alors dans le living Room, en bougeant un peu les jambres et se mettant sur la pointe des pieds soudainement inspirée par la musique. Elle remarqua alors Liam yeux clos, allongé sur le divan et s'arrêta soudainement brisant sa bulle d'inspiration. Elle le regarda et soupira se rappelant l'époque du lycée, Les deux jeunes adolescent était comme chien et chat à l'époque.. Personne n'avait jamais su pourquoi les deux se détestait, Il n'avait pas peur de se bousculer ou alors de faire souffrir l'autre.. Sans doute parce que la jeune femme était attirer par lui depuis plusieurs Année mais que lui ne la remarquait pas, C'était d'ailleurs pour cela qu'elle avait céder son coeur à Théo Mckaye qui était dingue d'elle, Dailleurs leur premier baiser c'était passer sous les yeux de Liam en plein couloir du lycée, la jeune femme avait regarder Liam sans aucune expression, Ils étaient durent l'un envers l'autre et la jolie pompomgirls n'avait pas peur de frapper Liam quand il la blessait de manière verbale.. sans doute pas dans ses intensions.. Mais C'était comme ça entre eux, Ils était honnête et direct l'un evers l'autre! ..

La jeune femme passa alors le cadre de porte, Elle n'aurait sans doute pas déranger si ce n'était pas seulement Liam, Elle se fichait bien de le déranger ou non, Elle était sans doute un peu rancunière et têtue! Elle pris place sur le second canapé, Tasse entre les mains à regarder le feu et à laisser Liam se reposer à sa guise! Elle partie tout doucement en pensée, Elle était une grande rêveuse, Elle passait son temps dans la lune entrain de rêvasser ...


[TON POST EST SUpeR! .. LE MIEN PAR CONTRE .. A 8 HEURES DU MAT et EN RETARD AU BOULOT .. SA DONNE PAS SUPER ! DÉSOLÉ JESSAIE DE ME REPRENDRE AU PROCHAIN ET SI ON SE PARLE PAS DICI LA ... BON VOYAGE... BISOUUUUUUUU]