Face à Face Fraternel [PV]

Noah était arrivé le matin dans le Vermont. Il avait roulé toute la nuit et était maintenant crevé. C’est pourquoi il était directement partit dans sa chambre, la numéro 2. Il ne savait pas qui allait être son voisin de chambre. Tout ce qu’il savait c’est qu’en arrivant, il y avait une enveloppe avec son nom et une clef lui disant qu’il avait été affecté à la chambre 2. Il avait donc pris son sac de voyage et il c’était dirigé vers la dite chambre. Il déverrouilla la porte et entra. Il se laissa tomber sur le lit tel un poids mort. Le matelas était très confortable et Noah se dit qu’il allait passer une bonne nuit. Il se releva finalement pour défaire ses affaires. Il y avait une petite commode face à son lit. Il ouvrit donc son bagage et commença à sortir les habits qu’il avait amenés, prenant soin de les ranger comme il faut sans les froisser. Une fois ceci finit, il mit son sac sous son lit, attrapa ses affaires de toilettes et pris la direction de la salle de bain. Il prit soin de fermer la porte à clef et commença à arpenter les couloirs.

Après plus d’une demi heure sous la douche, et la sensation d’être bien propre, Noah repris la direction de sa chambre. Il était pied nu et ne portait qu’une simple serviette autour de la taille. Il la tenait de la main droite tandis que sa main gauche portait un sachet plastique avec ses affaires du jour. Il arriva rapidement devant la porte de sa chambre, pressé de pouvoir enfilé des habits. Il glissa la clef dans la serrure mais quand il tournis, il vit que la porte n’était pas verrouillé. Son voisin de chambrée devait être arrivé. Noah pénétra prudemment dans la pièce mais ne vit personne. Il vit simplement la lumière dans la pièce mitoyenne. Il profita d’être encore seul pour enfiler un caleçon. Puis, légèrement vêtu, il se dirigea vers la petite pièce. Il lança un

« Y’a quelqu’un »

Noah n’était pas trouillard mais il n’aimait pas être dans le noir. Il aimait bien savoir ce qu’il en était et avec qui il était. Il attendait toujours une réponse à sa question et il continuait de s’avancer. A mesure qu’il avançait, sa respiration accélérait, son pouls et son cœur suivant le même mouvement. Il arriva finalement à l’encadrement de porte. La personne était de dos. Il posa sa main sur son épaule et lui dit alors

« Alors l’ami t’es sourd ? J’ai demandé qui c’était …»